Notre positionnement avec l’IA

Des images humaines, avec les outils de notre époque

L’IA générative fait désormais partie du paysage.
Elle permet de gagner du temps, de modifier des images, de débloquer des situations où refaire “pour de vrai” serait impossible ou disproportionné.

Nous ne faisons pas semblant de l’ignorer.
Nous choisissons simplement comment l’intégrer.

L’IA comme outil, pas comme fin

Nous considérons l’IA comme un outil, pas comme un but.

Elle nous sert à :

  • prototyper des idées,

  • accélérer certains traitements,

  • résoudre des contraintes techniques de production.

Mais la finalité de notre travail reste la même :
raconter des histoires avec des images incarnées, crédibles et assumées.

L’humain reste au centre

Dans la mesure du possible, nous préférons toujours :

  • un vrai modèle plutôt qu’un avatar,

  • un vrai décor plutôt qu’un décor entièrement inventé,

  • une vraie lumière plutôt qu’un rendu purement simulé.

Parce que derrière un shooting ou un tournage, il y a :

  • des personnes présentes,

  • des énergies, des tensions, de la confiance,

  • des accidents heureux que l’IA ne sait pas produire.

C’est ce qui donne du poids à l’image.
C’est notre point de départ.

Quand nous utilisons l’IA

Nous utilisons l’IA quand elle est cohérente avec le projet, et parfois parce qu’elle est la seule solution réaliste.

Par exemple :

  • pour prototyper une intention visuelle avant un vrai shooting (ambiances, compositions, cadrages) ;

  • pour gagner du temps en post-production (nettoyage d’éléments, extensions de décor, adaptations de formats, petites corrections impossibles à refaire sur place) ;

  • pour sauver une image ou une campagne quand le reshoot est impossible : contraintes de planning, météo, budget, produit plus disponible, équipe éloignée, etc.

Dans ces cas-là, l’IA n’est pas là pour “tricher”, mais pour :

  • servir l’idée initiale,

  • respecter les contraintes du réel,

  • éviter de jeter un projet complet pour une imperfection.

Ce que nous refusons

Intégrer l’IA ne veut pas dire tout accepter.

Nous nous engageons à ne pas utiliser l’IA pour :

  • remplacer systématiquement des équipes humaines dès qu’il s’agit de réduire un coût,

  • fabriquer des scènes mensongères (événements qui n’ont jamais eu lieu, preuves visuelles douteuses, deepfakes),

  • faire passer pour “documentaire” ce qui est entièrement généré.

Notre règle simple :

si l’IA change le sens de l’image ou trompe le spectateur sur la réalité de la scène, nous disons non.

Avec notre époque, pas contre elle

Intermarché, Porsche et d’autres montrent qu’il existe un vrai désir de créations assumées, faites par des humains.
Dans le même temps, les outils évoluent, et l’IA fait désormais partie du quotidien de la création.

Nous ne sommes ni “anti-IA”, ni “tout-IA”.

Nous travaillons :

  • avec les outils de notre époque,

  • pour des images qui restent lisibles, incarnées et responsables.

Tant que nous signons une image, nous en assumons la fabrication.
Qu’elle soit 100 % photographique ou enrichie ponctuellement par l’IA, notre engagement reste le même :
mettre l’humain au centre, et les outils – IA comprise – à sa place.